Je me senter tellement pas bien de devoir lui infliger ça. Si j'avais pu le tuer au moin elle se sentirer mieux et elle n'aurais pas eu besoin de se laver dans cette endroit qui à la base est une douche. Le nœud que javais au ventre se serra encor plus. Elle me demanda de rester avec elle, je lui sourit mais je crois qu'elle senter mon mal être.

-Tu n'as même pas besoin de me le demander je en compter pas te laisser seul. Je suis vraiment desole pour tout ça.

Je ferma la porte derrière nous, restant vigilant au moindre bruit, il était or de question qu'on lui fasse du mal.

Il me rassurât, me disant que je n'avait même pas besoin de le lui demander. Il ferma la porte de la cabine. Rassurer je n'hésita pas une seule seconde et je retira ma robe. J'hésita cependant une seconde a rentré dans le bac d'eau. Je regarda autours de moi et j'aperçu un gant de toilette. Je le prit et l'inspecta dans tout les sens. Visiblement il semblais assez propre. J'hessita encore une seconde puis finnalement le degout de son toucher me poussa a utiliser se gant. Je me dit que quelque part ca serait mien que de me laver directement dans le bac.

Avec douceur il m´aida a rentrer dans le bac, m´embrassant legerement au passage. Je lui souri doucement. Puis je commenca a me laver. Avec une petite grimace je passa le gant sur mon corps. Je me frotta vigoureussement la peau. A tel point que je vis ma peau rossir. Je ne me rinca pas tout de suite et me lava les cheveux ensuite. Autand en profiter, je n´étais pas prete de revenir ici de si tôt. Je senti du savon coulait dans mes yeux. Je gemis un peu et me toirna vers ashura les yeux fermer.

Tu peut m´aider? Comment on fait pour se rincer? Je ne voit de seau nul part...

Je sentis de l´eau couler sur mon visage et je me rinça les yeux. A un moment donner, tout se passa très vite, je fut éclabousser par le seau et presque aussitôt j´entendi un grand "plouf". Mes yeux étant rincer, je les ouvri en grand et chercha a comprendre se qui c´était passer. Je vis Ashura, a mes pieds, dans la baignoire, encore habiller. Je compris alors qu´il avait glisser et qu´il était tomber. Malgré le fait que je n´aurai peut être pas du, je ne pu m´empechai d´éclater de rire.

Je ne compris pas de suite ce qu'il venait de ce passer. Je me releva d'un cou et regardas Kaliska qui était mort de rire. Je ne pouvais m’empêcher de la suivre car c'est vrai que la situation était drôle. Pour plaisanter je me mis à l’éclabousser, chose inutile car elle était déjà mouiller. Je me foutais de faire plus de dégât des eau vu l’état des douches. Au bout de quelque minutes on arretas notre "bataille" d'eau.

-Bon au point où j'en suis, autant en profiter pour me laver aussi.

Je me leva et commença à retirer mes vêtements mouiller.

Il m´écclaboussa et je lui rendi la pareil. Finalement on arreta et il desida d´en profiter pour se laver. Je le regarda se deshabiller mais a causse du fait que ses vetements étaient trempé il eu un peu de mal. Je souris vaguement et m´approcha pour l´aider. Avec mon aide il se deshabillat et je lui laissa la place dans le bac. Je pris la serviette que j´avais attraper en passant dans la chambre et commenca a me ressuyer, commencant par épongé mes cheveux, laissant ma peau secher a l´air libre. En même temps je le regarda du coin de l´oeuil se laver, appresiat son corps.

Elle m'avait aider à me déshabiller, en même temps avec les vêtements complétement tremper je n'y arrivais pas trop. Elle me laissa la place pour que je me lave. j'était dos à elle mais je sentais qu'elle me regardais. Je me retournas d'un coup et fronça les sourcil.

-Mais dite moi mademoiselle je rêve où vous me regarder en douce ?

Je me savonna le torse en fessant bien ressortir mes muscles.

-Sachez qu'il faut payer pour avoir le droit de regarder ce corp de rêve.

Il se retourna et me questiona. Pour toute reponse je lui souri. Il se savonna en me regardant et en me dissanr que je devait payer. Une lueur espiegle apparut alors dans mes yeux et je lui souri. Je m´approcha et, sur la pointe des pieds, je m´emparra de ses levres. Je ne lui laissa cependant pas le temps de m´attraper et je me reculat. Etant seche, je remis ma robe et je lui offrit un petit sourire prometteur. J´ouvri la porte et m´enfuit dans notre chambre, avec un petit rire.

Arriver dans la chambre, je retira ma robe, la possant sur une chaisse pour qu´il ne puisse que la remarquer et je m´allongea dans le lit, seulement recouverte d´un drap fin qu dévoiler mes formes. Je ferma les yeux un instant, penssant pouvoir tenir et rester eveiller. Cependanr j´avais pressager de mes forces et je m´endormis sans m´en rendre compte.

Ces jolie lèvre passionnel se posèrent sur les miennes. Je voulais qu'elle me rejoignent mais son sourire m'éclaira sur ses intentions que j'aurais plus tard. Toute façon elles' échappas avant que je la rattrape. Je continuais de me laver, malgré la situation je voulais essayer de me détendre, de ne pas trop penser à la raison pour laquel nous étions là. Il le fallait de toute façon. Après mettre sécher je me dirigeais ver la chambre. Elle avait poser sa robe bien en évidence et je souriais. Mais elle était allonger sur le lit, avec une drap sur elle et apparemment elle avait que ça. Je la regardais avec une tendresse que je en soupçonner pas. Je me suis approcher d'elle et déposa un doux baiser sur la joue. Je ne voulais pas la réveiller. Je me mis à la fenêtre et je regardais cette ville qui était pour moi qu'une ville pourris. C'est alors que je vis une silhouette que je connaissais, qui me rappelais quelque chose. Je regardais l'heur il était déjà le soir. Je pris mes affaires et laissa un mot prés de kaliska.

"Mon tendre amour, ne t'en fait pas je suis au bar en bas, je n'ai pas oser te réveiller. Je t'aime, Ashura.

Un jolie rêve. Je fit un rêve qui ne me laissa qu´une profonde sensation de joie et de bonheur. Je les resentai toujours lorsque je me reveilla. Je m´étira doucement et ouvri les yeux. Je sursauta alors. Pour plusieurs raisons. Tout d´abors Ashura n´était pas la. Ensuite il fessait presque noir, ce qui voulait dire que le soir était la depuis longtemps. Paniquée, je me redressa d´un bond et regarda autourd de moi. Un petit mot, une lettre, un signe, un indice,... quelque chose pour me rassurer. Je fini par trouver. Un petit mesage ou il me dissait qu´il était dessendu au bar. Je soupira, dessu car j´aurai aimer aller avec lui, mais j´avais trop peur de sortir seule. A causse de cette peur de la solitude, je me dirigea vers la porte de la chambre et le ferma a double tours. Puis je pris ma robe et me rahabillat. Je garda le mot contre moi pour tenté de me rassurer et de me dire que tout aller bien. Au bout de se qui me parut une étrenité, un frappa doucement a la porte. Je me redressa.

Ashura? C´est toi?

Quand je passais dans le couloir je chercha le patron de l’hôtel pour lui faire comprendre qu'il avait intérêt à rester à sa place mais il n'était pas la. Je sortit dehors mais je n'était pas très bien, je ne savourais pas la douceur de la nuit comme à mon habitude. Avec mon chapeau sur la tête je commençais de me diriger ver le bar, tout doucement les mains dans les poches comme une sorte de gangster, ou plus tôt comme le garçon que j'était il y a quelques mois. Il fallait que j'essaye de me remettre dans le bain pour pouvoir lui parler sans la tuer. Si bien sur néanmoins la malédiction venais d'elle mais je me doutais que c'était le cas.
Arriver devant le bar je resta qu'elle minutes devant, la tête baisser et je me rappelas ce fameux jour où d’après moi tout avait commencer...

Je venais d'arriver dans la ville, mais à l'époque pour moi elle était très accueillante. Les rues remplis de fille au charmes inégalable qui ont pour seul but, mettre leur charmes au service des hommes ou des femmes en manque d'affection pour quelque sous. A peine avait-je mis le pied dans cette ville que je me retrouvas dans une ruelles à faire la connaissance un peu pousser d'une sorcière blonde. Pour moi, cette ville de plaisir était l'idéal. Je fit quelque autre connaissance féminine et je n'avais pas forcément besoin de les payer. Le fait d'être un vampire m'avait permis au fil de mes grandes années d’existence d'améliorer mes performances horizontal et comme cela ne déplaisais pas au filles je ne payer pas forcément. La ville était une fête interminable. Toues les nuits dans les bars a boire et à gouter aux charmes des femmes. Je passais donc mes nuits comme ça, à boire et quand mon état me permettais de rester debout je finissais la nuit avec une ou plusieurs autres jeune filles et je passer mes journées à dormir, seul ou pas. Au bout de quelque temps je fit la connaissance d'autre hommes dans mon genre avec qui nous nous amusions à partager nos expériences. C'est avec un jeune vampire, Daichi, que je parlais le plus souvent. Il s'était aussi installer dans la ville, et un soir au bar nous avions eu une discussions.

-Alors Ashura, ce soir tu rentre avec qui ?

-Bof je sais pas, ce soir j'en ai deux dans ma ligne de mire mais je ne sais pas laquelle choisir. Peut-être les deux comme ça je n'aurais pas à me tourmenter à faire un choix. Je lui avait dit ça avec un grand sourire.

-Mais dis moi tu es un vrai tueur.

-On se refais moi mon vieux, prend exemple sur moi.

-Tu sais ce qui m'étonne ?

-Que je n'ai jamais eu plus de quatre filles dans mon lit ?

Il rigolât,- Non ce qui m'étonne c'est que tu n'est toujours pas eu dans ton lit la fameuse Amika.

-Qui ça ?

-Ne me fait pas croire que tu ne sais pas qui c'est, cette fameuse sorcière belle comme le jour qui fait galérer tout les hommes.

-Ha tu parles de la fameuse que tout le monde parle comme si c'était une bête de sexe ?

-Oui c'est ça, tu sais, elle te fait voir les plus belle merveilles et puis après elle te jette.

-Oui j'en ai entendu parler mais je en l'ai jamais vu.

-Tu veux que je te dise cette fille elle est si belle, si mystérieuse.

Je le regardais avec soupçon.

-Tu l'a déjà eu dans ton lit non ??

-Non pas du tout mais j'en ai beaucoup entendu parler, il y à plusieurs gars qui on eu à faire à elle et qui sont limite tomber sous le charmes, bon pas au point de devenir fou d'amour mais il voudrait recoucher avec tellement elle vous fait des choses incroyable.

-Tu sais je m'en fou un peu, des filles je peu en avoir comme je veux, alors une en plus ou en moin, c'est pas un coup de plus qui changeras ma vie.

Seulement je ne savais pas que j'avais parler trop vite. Un soir, alors que j'était au bar je me retrouvais sans filles pour finir ma soirée je sortit du bar pour me balader. C'est alors que je passa prés d'une ruelles sombre avec juste un lampadaire qui éclairer un petit coin c'est alors que je vis une silhouette. Au début je contais tracer ma route mais j'était intrigué. Je fis demis-tour et me rapprocha de cette silhouette. Au fur et à mesure que je me rapprochais je distinguais que c'était uen filles. Et je en pouvais m’empêcher d'avoir un sourire en coin vu la beauté qui se dressais devant moi. Une femme au long cheveux brun onduler adosser sur le mur, des lèvres sensuelles, des yeux vert émeraudes qui ressortais avec un très beau maquillages. Un corset noir bleu qui m’étais en évidence sa poitrine et sa robe qui était dans le même style de couleur. Plein de bracelet noir sur les deux bras, elle avait des formes généreuse.

-Tu t'es perdu beau brun ?

-Je pourrais te poser la même question, belle brune.

-Ho tu me fait déjà des compliments, laisse moi voir tes yeux que je sache un peu à qui j'ai à faire.

Elle retiras le chapeau que j'avais sur la tête et elle me sourit.

-Ho mais je vois qu'on à un beau regard, elle parler avec une voix très sensuelle, qu'elle est ton nom ?

-Je m’appelle Ashura.

- Et moi Amika.

-C'est donc toi la fameuse Amika.

-Tu as donc entendu parler de moi

Je dit oui de la tête.

-Et je peux savoir ce que l'on dit sur moi.

-Et bien que tu es une femmes qui aime menait les hommes par le bout du nez.

-C'est juste que je me lasse très vite, une fois suffit.

-Une fois ?

-Et bien je ne couche qu'une seul fois avec le même mec, une fois c'est là ma philosophie. Tu vois si un homme devient régulier il pourrais un jour se lasser et ne plus me désirer et j'ai horreur de ne pas me sentir désirable.

-Intéressant, et que fait-tu si un homme ne te désire pas ?

-Sa me rend totalement folle et je fait tout pour l'avoir, désirer l’inaccessible est encore plus excitant, mais sache que j'arrive toujours à mes fins. J'obtiens toujours ce que je veus. Et toi je te veus tout de suite.

-Et qui te dis que j'ai envie de toi ?

- Je le sais car sinon tu me regardais dans les yeux au lieu de dévorer mes formes depuis tout à l'heure.

Je la regardais en continuant de la désirer au plus profond de moi, c'est vrai qu’elle avait un charme fou qui vous fessait la désirer sans même ce contrôler.

-Prend-moi tout de suite.

Je ne la fit pas répéter, c'est comme ça que pour la première fois je gouttas à son corps dans cette ruelle. Seulement elle voulut me revoir et je fut le premier homme avec qui elle voulut recoucher. Au fil du temps elle n'allais plus avec tout les autres hommes mais seulement moi, puis au fur et à mesure de mon coté j’allais pas non plus avec les autres filles. Non pas que je ne voulais pas mais elle me prenais tout mon temps, certes de temps en temps j'allais ailleurs mais sinon je rester avec Amika. On aurait pu dire qu'on était un genre de couple, mais pour moi ce n'était pas le cas. On pouvait rester des jours et des nuit entière à l’hôtel à étudier l'anatomie. C'est vrai qu'elle avait une façon de faire qui était égal qu'a elle même. Avec elle je revivait toutes les expériences sexuelles que j'avais pu découvrir au cour de ma longue vie, seulement au fil du temps, alors que pour moi cela restais sexuelle, elle tombas amoureuse. Et ça je ne voulais pas, je n'était pas amoureux et je ne voulais pas qu'on m'aime. Ce fut un soir d'été que je me décida à partir, il fessait nuit et nous étions seul dans la rue, je venais de lui annoncer que je partais, que je changer de ville. Elle s'était mise à pleurer.

-Non Ashura, reste, je t'en pris.

-Mais laisse-moi, tu t'en remettras crois-moi.

-Non je m'en remettrais pas, tu comprend pas je t'aime.

-Ne me fait pas rire, c'est quoi l'amour c'est rien, tu ne sais même pas ce que sais et moi non plus d’ailleurs.

-Je veux rester avec toi, je te jure.

-Oui mais moi je ne veux pas.

-Et notre couple alors tu en fait quoi ?

- Ha pour toi on était en couple ?

-Ben oui quoi d'autre ? on se voit régulièrement, on s'aime.

- Non, non non, on couche ensemble régulièrement mais ça ne fait pas de nous un couple, sinon cela veut dire que je suis en couple avec toutes les filles de la ville.

-Tu es un salaud.

-Oui je sais, je suis un grand méchant.

-Et moi alors, je vais devenir quoi sans toi ?

-Et bien tu vas faire comme à ton habitude, écarter les cuisses, ne t'en fait pas tu auras je suis sùr beaucoup d'hommes voudront te réconforter. Je lui disais ça avec un grand sourire.

-Part alors, part mais je peux te garantir que tu vas le regrettais.


Si seulement j'avais su, j'aurais était moin dur et dégueulasse. La devant ce bar, alors que je venais de revoir toute cette mésaventure, je me décida à entrer.

C´est le servise.

Une voie neutre. Une femme. Je me redressa et alla a la porte pour ouvrire. Je ne me mefia pas, ce que j´aurais peut être du faire. J´ouvri la porte, sans verifier qui était deriere. Je revient m´assoir sur le lit, mais a peine eu-je fait trois pas, que je me sentis projetter sur le lit. Je ne protessta pas vraiment. J´avais reconnu l´odeur du patron de l´hotel. Il vient sur moi et me retourna sur le dos, dechirant au passage ma robe. Je le regarda dans les yeux, sans trahir d´émotion particuliere.

Cela le destabillasa un peu et aussitôt j´en profita pour faire une chose dont je revai depuis quelques jours. Je me transforma et, profitant de se court moment, je lui sauta a la gorge. Plus tard je devrai reflechir aux coséquences, mais pour le moment, mon instinc, ma rage, ma colere, prirent le dessus sur tout le reste. Je ne le lachas même quand je senti quelque chose s´enfoncer dans mon bras gauche.

Il mourrut, vider de son sang par mes soins. Je laissa tomber le cadavre et me redressa legerement et comtempla la scene. Encore une fois, j´avais mis du sang partout. En sououpirant, et sans me preocuper des taches de sang qui souiller le lit, je me dirigea vers les douches, ou j´entrepris de me nettoyer et de nettoyer ma robe.

Je me décida à entrais dans le bar. Je reconnus une fois de plus je sentis cette odeur qui était trés désagréable, cette odeur que j'avais aimer durant un temps, celle du sexe et de la débauche, de l'alcool et de tout les plaisirs. Je m’arrêtas au milieu cherchant la cherchant du regard. Le bar était plein. J en al trouvais pas alors je me suis diriger au comptoir.

-Tu ne l'aurais pas vu ?

-Je me demande si c'est une bonne idée que tu la revoit

-C'est pas tes affaires, dis-moi elle est ou ?

-Tu sais elle t'a vraiment aimer, après ton départ elle n'a fait que collectionner les mecs qui te ressembler.

-Ce n'est pas mon problème, dis-moi où elle est.

Il me fit un signe de tête et je suivit son regard. Elle était là, assise sur un homme qui me ressembler un peu. Elle était toujours aussi belle je dois l'avouer, mais je voyais qu’elle n'avait pas changer. En train de flirter avec ce types je savais de quoi la nuit serai faites pour elle. Je m'approcha doucement mais pas trop. Je restais à bonne distance, une petite qui lui permettrais de se sentir observer. Je retiras mon chapeau et ne la lâcher pas du regard. Elle tournas la tête et son expression changea quand elle m’aperçut. Elle arreta de se laisser embrasser par ce type et s'approcha de moi tout doucement. Je ne lâchais pas ses yeux, lui expriment toute la haine que j'avais pour elle. Quand elle fut à bonne distance elle se jeta dans mes bras mais je la repoussa.

-En voila des manières de dire bonjour à une vieille amie.

-Je ne suis pas la pour une visite de courtoisie. On s'entend mal là, viens dehors.

En allant dehors elle t’enta de me prendre la main mais je ne la laissais pas faire. Arriver dehors je me mis en face d'elle.

-Alors beau brun, que me veux-tu ?

-Je voudrais que tu arrete.

-Arrêter quoi, je n’aie rien commencer.

-Ta malédiction, je veux que tu l'arrete.

-Je ne vois pas de quoi tu parle.

-Arrête de mentir, quand je suis partit tu m'as dit que j'allais le regretter.

-Ha oui je m'en souvient, mais ne parlons pas de ça vient m’embrasser.

Elle s'approcha et tenta de me prendre dans ses bras.

-Je ne veux pas de toi, je veux que tu arrete ce que tu a fait.

-Écoute c'est une vieille histoire vient plutôt passer du bon temps avec moi, comme avant.

-Sache une chose je suis venu pour que tu enleve cette malédiction que tu m'a lancer et non pour te toucher, c'est fini je ne te toucherais plus.

Elle s'approcha de moi et me caressa doucement l'entre jambes. Je ne fit rien car la colère était si forte que si je bouger j'aurais pu la tuer.

-Je te demande d’arrêter, je ne veux plus de toi alors tu es gentil tu arrête.

-Ho Ashura, tu me repousse, tu ne peux pas savoir comme ça m’excite encor plus.

Elle se rapprocha et n’embrassa, je ne me retiras pas de suite, je ne voulais pas l'embrasser mais je fut tellement surpris que je ne réagis pas de suite. A ce moment une seul pensé me trotta dans la tête. Par pitié Kaliska ne te descend pas maintenant.

Je batailla pendant une bonne heure pour debarrasser ma robe de ses taches de sang. Finallement j´arreta quand je constata que je ne pourrait pas faire mieu. Avec la chaleur sorti de mes mains, je secha mon vetement puis m´habillat. Je revient dans la chambre et reflechi une seconde pour savoir quoi faire du corp. Hasard, malchance ou fait exprès, le destin voulu que quand je passa près de la petite table, je la bouscula et fasse tomber la bougi allumer dessus.

Aussitôt le feu commenca a prendre doucement. Fort de cet encouragement, je sorti et ferma la porte a clef comme si de rien n´était. Je dessendi et sorti dehors. Autand rejoindre Ashura. Ca donnerai au feu le temps de prendre. Je me dirigea vers l´auberge, que l´on reperait de loin a causse du bruit qui en sortait. Je souri et accelera le pas pour rejoindre plus vite Ashura.

En tournan au coin de la rue, je vis, sans y faire vraiment attention, un couple qui semblait prendre un peu de bon temps. Ils étaient en train de s´embrasser. Cependant en arrivant a deux mètres d´eux je me figea. Je detailla l´homme et reconnu instantanément la sillouette d´Ashura. Surprise, furieusse, décut, je siffla rageussement. Se fut un cri vampire, remplis de desesoire, d´incomprehenssion, de rage, de doute et de tout un tas d´autres sentiments.

Je voulais retirer ses lèvres des miennes mais je en pouvais pas et surtout je ne saurais dire pourquoi. C'est alors que j'entendis un bruit qui me glaça le sang. Un sifflement que je reconnus, je me retiras d'elle et tournas la tête. Non Kaliska. Je vis dans ses yeux des émotions que je ne croyais pas possible un jour de voir. Fou de rage je me tournas vers Amika.

-Écoute moi bien, je reviendrais te voir et tu as intérêt a enlever cette malédiction.

-Ne me menace pas, tu sais pas de quoi je suis capable.

-Toi non plus, si il faut que je te tue je le ferai sans regret.

-Si tu me tue la malédiction ne s’enlèvera pas.

Je la regardas plus insistant.

-Tu avoue alors, tu m'a bien jeter un sort quand je suis partit.

-Oui, tu m'a tellement fait mal, il fallait bien que je me venge.

Je regardais Kaliska qui ne me lâcher pas du regard.

-Je doit faire quoi pour que tu arrête ?

Elle regardas Kaliska puis moi à nouveaux.

-On vas faire un marcher, viens me voir demain soir, mais avec elle. Je suppose que c'est celle qui nous regardes ?

Je la regardais avec un air mauvais.

-Oui c'est elle et tu sera gentil de ne pas lui manquer de respect.

-Moi gentil, jamais, mais n’oublie pas qu'a une époque tu adorais ce coté la de ma personnalités.

Elle s’éloigna et je vis Kaliska qui commencer à partir en courant. Je courus derrière elle et l'attrapa par la main.

-Non kaliska c'est pas ce que tu crois, je te jure, c'est elle qui m'a embrasser, c'est pas moi qui l'a voulut.

Je pris on visage dans mes mains et le releva pour qu'elle me regarde.

-Mon amour c'est toi que j'aime, je te jure c'est toi c'est pas elle. Mais maintenant on est sur, c'est bien elle qui a fait cette malédiction, mais je t'aime, je veux pas te perdre. Je t'en supplie crois-moi, regarde-moi, tu es mon amour, tu es ma vie. Je t'aime ne la laisse pas nous briser.

Au loin on entendit des voix qui hurlais.

-AU FEU ! L'HOTEL BRULE.

Je regardas Kaliska soupçonneux.

-Kaliska, c'est toi qui a fait ça ?

Il se retournat et repoussa la femme. A la discution qu´il eurent alors je compris que mon problème "d´équilibre", de malchance, venait d´elle. Ils finirent de parler puis elle s´en alla. Moi je tourna les talons et m´enfuit. Sans savoir pourquoi je voulais être loin de lui. Il me rattrappat, me retient et me dit que c´était elle qui l´avait embrasser. Il me tenait et au loin on entendait des appels au feu. Il me demanda alors si j´étais la responsable.

Je le regarda, cherchan a savoir sije lui fessai encore confiance. Sans savoir pourquoi je l´avais fuit. En reflechissant cependant je comprit que se n´était pas lui mais elle que je fuyais. Je comprit alors que son amour pour moi, comme le mien pour lui, était profond et intarissable. Je lui repondit donc franchement.

Je ne suis pas directement impliqué, si c´est ca que tu veut savoir. Je n´ai pas utilisé mes "talents". Cependant...

Je me mordilla la levre, un peu hessitante, puis lui expliqua.

J´ai raccrocher la table en sortant de la chambre. La bougie est tomber. C´est donc en partie ma faute...

Je realissa alors les consequences que mon geste pourrait avoir. Honteusse, je baissa la tête et attendis son jugement.

J'avais tellement peur qu'elle m'en veuille, je la regardais avec des yeux humide, je ne voulais pas la perdre a cause de cette sorcière, je ne voulais surtout pas voir dans ses yeux que je n'avais plus sa confiance. Mais forte heureusement ce n'était pas le cas, mais je voyais quand même la tristesse dans ses yeux et ça me brisais le cœur.
Quand au feu, elle m'expliqua que ce n'était pas sa faute, elle baissa la tête comme si elle avait fait une bêtise. Je l'a rapprocha de moi et la serra très fort. Les gens autour essayer d'éteindre le feu mais aucun n'accuser une personne, pour eux cette hôtel était pourris il pensais certainement à un accident.

-Je ne crois pas qu'il ton vu. Tant mieux que tu es bruler cette endroit de malheur, viens on va ailleurs, je ne veut même pas les aider.

Je la pris par l'épaule et l’emmena ailleurs. Il y avait un autre hôtel, je ne l'avais pas emmener la avant car il est réserver aux prostituer mais vu qu'il n'y avait plus d'autre endroit il fut obligé de nous donner une chambre. Il n'était pas mieux que l'autre, il ne puais pas la crasse ou l'humidité comme l'autre, mais il sentais surtout le parfum de ses femmes qui se donner à cœur joie au plaisir de la chair, malgré les mur on pouvait entendre les joies des couples payé autour de nous. Une fois dans la chambre je ne pus m'enpécher de prendre les meubles autour de moi et de les casser ronger par la colère.

-Je suis désolé mon amour, je te jure que ce n'est pas de ma faute, je ne voulais pas tout ça.

Il me rassurat, me dissant que les gens ne penserai surment pas a moi. Puis il m´emenat dans un autre hôtel. Le gars au gichet fit la tête et me détailla quand Ashura lui demanda une chambre. Je compris pourquoi il avait fait tellement de ressistance quand on arriva dans la chambre. Nous entendions autour de nous, dans les chambres voisines, les couples qui étaient ensemble... Rugissement, cris, rire, pleure même a un moment. Je frissona ne voulant même pas imaginer pourquoi cette femme pleurait.

Je m´assi sur le lit et je vis qu´Ashura s´acharner a éclater les meubles. Je soupira, me leva, et le pris dans mes bras. Avec une grande inspiration je me prepara a lui dire le reste.

Ashura? S´il te plai calme toi, je ne t´en veut pas... Mais je comprendrai si toi tu m´en voulais...

Interloquer il me regardat. Je le tira par la main et il vient s´assoir a côté de moi sur le lit. Je le regarda dans les yeux, puis je laissa mes larmes couler.

Tu sais... Je ne t´ai pas tout dis... Après que je me soit reveilé, a la basse, j´avais desider de t´attendre a l´hôtel... Mais une servante et arriver et sans faire plus attention j´ai ouvert... Le patron est entré et il m´a plaquer sur le lit, arrachant un peu ma robe. Je n´ai pas suporter... Je l´ai mordu et...

Incapable de continuer a parler, je baissa la tête. Je ne me render compte que maintenant de la stupiditer de mes gestes, et des malheurs qu´ils pourraient nous apporter. Incapable de soutenir son regard, je garda la tête baisé, laissant les larmes coulaient sur mon visage.

Elle réussi tant bien que mal à me calmer. Je m'en voulais tellement que je ne savais pas comment canaliser ma rage. Je me sentais tellement coupable, mais dans ses bras je me sentais à peu prés bien et apaisé. Elle me prit par la main et s’assit prés de moi, et quand je vit des larmes couler de son beau et doux visage je comprit qu'il s'était passer quelque chose. Mes poings se crispèrent, au fur et à mesure qu'elle me racontas la raison de ses larmes je me sentais me transformer tout doucement. Mais au lieu de me lever et de tout casser comme je l'aurais fait en tant normal, j la pris dans mes bras et la serra très fort. J'essuya ses larmes du bout des doigts. Je me sentais trembler car la colère m’envahissais. Mais je la gardais toujours prés de moi.

-Mon amour sèche tes larmes, c'est fini. Cette enflure est mort et....Je suis vraiment désolé, c'est à cause de moi qu'il t'arrive tout ça.

Je me sentais tellement mal, mais il ne fallait pas que je craque, pas maintenant elle avait besoin de moi, besoin que je la soutienne. Je ne pouvais pas me permettre de pleurer maintenant. Je me leva et fit les 100 pas dans la pièce.

-Écoute maintenant nous sommes sur que cela ne vient pas de toi, c'est elle, cette Oh mon dieu ... *choqué* qui t'a envoyer ce sort, donc il nous reste jusqu’à demain soir à tenir. Elle veut nous voir tout les deux et après c'est terminer.

Je me rapprocha d'elle et m’allongea en la prenant dans mes bras.

-Je ne te laisse pan tu peux dormir tranquille je en partirais pas cette fois, je reste prés de toi.

Je voulais paraitre optimiste mais le fait qu'elle veuille nous voir tout les deux ne me disait rien de bon.

Il cherchat a me rassurer, me dissant que se n´était pas grave. Il me dit que la sorciere voulait nous voir tout les deux, le lendemain. Je senti a sa voix, que cela ne le rassurer pas trop. Finalement il revient a moi et, me prenant dans ses bras, il s´allonga a côté de moi dans le lit, me dissant de dormir. En soupirant je ferma les yeux, cherchant le someil. Mais il me fuyait et j´étais incapable de dormir. Je chercha donc une autre possition. Je me tournai et me retournai dans tout les sens. Finallement je m´allonga sur lui, mellant mes jambes au sienne et placant ma joue sur son coeur. Ainsi blotti contre lui je me sentai en securiter. A moitier endormis je murmura:

S´il te plais... Sere moi fort contre toi... Je me sentirai en secur...

Je ne termina pas ma phrase car je m´endormi comme une souche. Je me sentai en securité, malgrès les cris, rugissements, râles, pleure et autre bruit autour de nous.

Nous étions allongé, je la voyais chercher le sommeil, je ne savais pas ni quoi dire ni quoi faire. Je restais la prés d'elle espérant qu'elle puisse s'endormir, car déjà de source sûr je savais qu’elle allais rêver. Au bout de quelques minutes elle se mit sur moi et s'endormis. Moi le sommeil je ne le trouvais pas non plus, je restais quelque heure à regarder le plafond pendant que je lui caressais les cheveux. Tant de chose se bousculer dans ma tête. Tout les malheurs qui nous était tombé dessus était de ma faute, pourquoi elle veut nous voir nous deux, et surtout es que-elle tiendra sa parole, il faut vraiment qu'elle enlève cette malédiction. Puis un bout d'un moment je m'endormis. En fin de matinée je me réveilla. Kaliska elle dormais toujours et avait du bouger car elle n'était plus sur moi mais à cotés de moi. Je me leva tout doucement et m'habillas quand j'entendis un genre de bruit sourd contre notre porte. Mon premier réflexe regarder si ce bruit avait était réveiller par ce bruit, heureusement non. Je me dirigea doucement ver la porte et l'ouvrit prudemment. En faite c'était juste un homme totalement ivre qui devait tenter de rentrer chez lui et qui venais de s'écrouler devant la porte. Je comptais le laisser finir sa nuit mais non.

-Mauvais endroit au mauvais moment mon vieux.

Je le tira à l'intérieur, me transforma et savouras son sang car il faut le dire j'avais très faim. Quand mon repas était terminé j'en mis la moitié dans des fioles pour Kaliska et mit le cadavre sous le lit. Je m'assis sur le lit en attendant qu’elle se réveille, il nous restais qu'a patienter jusqu'au soir et d'ici là je ne comptais pas la laisser.

Sans savoir pourquoi, cette muit la je ne reva pas. Peut être parce que j´avais déjà subis une attaque dans se genre et que cette derniere avait été un peu plus "abouti"... Je n´en avais aucune idée mais je ne chercherai pas a savoir plus avant car c´étais très bien comme ca. Je me reveilla doucement, une horloge non loin sonnant. Je compta 12 coups... Il était donc au moin midi si se n´est plus. En ouvrant les yeux, je constata qu´Ashura n´était plus dans le lit. Aussitôt je me redressa. Je le vis un peu plus loin et je me calma. Une odeure famillierè vient me chatouiller les narrines. Chaude, riche, salé, ferreusse,... Du sang! Sans m´en rendre compte je me transforma, ma cheveulure et mes yeux passant du rouge au brun en a peine une seconde. Je tourna la tête dans tout les senses, cherchant d´ou cette odeure venait.