Une fois fini, nous sommes partie a la forêt des elfes, J'ai senti que Wyliä dormait. Elle doit être jeune. J'ai regarder devant moi, et regarder aussi, ce paysage ou j'étais sur que je n'allais pas trouver se que je cherchais.

Je préféré faire le camps toute suite, car nous allons rester ici pendant un bon moment. Une fois vu un endroit confortable, je suis descendu de Bolérus pour faire le camp. Pris des branches qui sont tomber de l'arbre et fait un toit qui tenez a une branche, assez grand le toit pour accueillir une femme, une jeune fille, un tigre et un chat. Je l'ai recouvert avec du feuillage des arbres qui sont tomber et mis sur le toit, enfin, des lits confortable avec des feuilles sur des branches. Un camp confortable quoi. J'ai dit a Bolérus qui pouvais aller s'allonger sur son lit, j'ai pris Wyliä délicatement du dos de Bolérus et posa sur son lit respectif et mis le chat a côté de Wyliä. Pris nos gourdes et alla chercher de l'eau.

Une rivière n'était pas très loin, j'ai pu remplir nos gourdes et revenir au camp. Une fois revenu j'ai vu Wyliä réveiller :

- Bonjour, bien dormi ?

Je lui ai donner de l'eau et je me suis assise dans mon lit sous le toit.

- Bonjour, bien dormi ?
"- Oui merci, très bien" j'ai sourit et désignée la maison d'un ample mouvement du bras.
"- Tu as fais ça toute seule ? Tu aurais dû me réveiller pour que je puisse t'aider..."
J'ai but l'eau qu'elle me donnait et j'ai levé le visage vers le ciel.
"- Il neige..." Je me suis effondré. Plus d'energie vitale. J'ai chercher un arbre en fin de vie. Il n'y en avait pas prés de moi. J'ai inspiré et je suis passé dans la Réalité Noir, il fallait que je fasse vite. J'espère qu'Aëllicia ne remarquera pas ce que je suis en train de faire... Je dégoûte les gens souvent... Il me prenne pour un parasite. Ils ont raison. Je suis un parasite. J'ôte la vie. Je me dégoûte. Un vieux sapin s'écroule sous la neige. Il ne passera pas l'hiver. Je le fais tomber en poussière, j'espère qu'il n'est pas trop près, je ne sais pas avec la Réalité Noir. J'émerge et j'ouvre les yeux. Ma seule pensée va a la neige pendant que j'observe la réaction d'Aëllicia.

[hrp: deso pour le retard ]

"- Oui merci, très bien"

Elle a sourit et elle a désignée la sorte de maison que j'ai fait, et elle a dit :

- Tu as fais ça toute seule ? Tu aurais dû me réveiller pour que je puisse t'aider..."

J'ai ris, et répondu

- Oui, et je voulais pas te réveiller car tu avais besoin de dormir

Elle a levée sa tête vers le ciel, je l'ai regarder sans levée ma tête, elle a dit :

"- Il neige..."

Et elle c'est effondrée, j'ai couru vers elle et pris dans mes bras et je l'ai regarder, pourquoi c'est-t-elle évanouie ? Je l'ai regarder quand j'ai entendue un effondrement de neige, j'ai posée Wyliä dans la maison sans mur, sur son lit. Je suis aller vers le tas de neige, avant se dresser un sapin, comment il a disparu ? Je me suis agenouillée sur le tas de neige et commença a creuser, que du blanc mais au bout d'un moment, de la cendre. J'ai pris une poignée et approcha de Wyliä, je me suis agenouillée et montra la cendre :

- Tu pense pas qu'il faut expliquer ceci ?

Et j'ai laisser la cendre s' écoulée entre mes doigts et tomber sur la neige.

Elle pensée a des choses, cela ce voyait. Laissant coulée les cendres du sapin de mains vers le sol de neige, je la regarda, cherchant la raison, la cause. Quand il eu plus de poudre, j'ai serrée le poing avant de le relâcher et ouvrir ma main. Un jour, il faut révélée ces secrets car rien n'est éternelle, toute chose naît, vie, et meurt, c'est la règle de la vie. Des personnes dit que vivre éternellement est un don, quelque chose de merveilleux, cela est faux. C'est une malédiction, ont voit nos proches mourir, des êtres chers et jamais le repos éternelle. Il faut bien que un jour, ont meurt ... Elle secoua la tête, pour chasser ses pensées dérangeante surement. Je la regarda, cherchant la réponse.

Elle était au bord des larmes, qu'a fait le destin à cette enfant ? Elle se contenta de me regarder, sans me dire, sans me répondre a la question que je lui es posée. Elle devra bien le dire un jour. J'ai soupirer et je me suis levée et me retourna et commença a marcher quand j'ai entendu la voix de Wyliä, je me suis arrêter sans me retourner.

"- Et toi..."

Sa voix se brisa, mais recommença.

"- Et toi, que cache tu ?"

Elle repoussa ma question ... J'ai souri sous mon foulard et fessant toujours dos a Wyliä je lui ai répondu.

- Ce que je cache ? Un passé, dont j'ai besoin de venger quelqu'un et savoir pourquoi il a fait sa ... Je sais que la mort ne ramènera pas un mort à la vie, mais j'ai un besoin de faire ceci. Un jour tu devra répondre a cette question, un secret n'est jamais éternelle, tu dois le savoir.

Je suis aller ramasser des branches et fait un feu. J'ai dit une partie de ma vie, a elle d'en dire une partie.

Pendant que je fessais un rond avec des pierres et creuser un peu dans le cercle en neige, Wyliä a parler, et sa voix ne trembler pas.

"- Je cache tout. Passé comme futur. Je ne suis pas aussi jeune que j'en ai l'air, mais je ne suis pas aussi veille que la personne que tu vois en regardant mes yeux. Mon âge importe peu, je suis morte il y a bien longtemps déjà. Je ne suis qu'au début d'un chemin fait de morts et de regrets. Je suis morte quand pour la première fois j'ai tué. J'étais déjà morte a ce moment là. J'ai tuer... Je n'ai jamais cessé de mourir. Je dois tuer en souvenir de ceux que je tue. Je voudrais m'endormir, laissé les bras froid de la neige de refermer sur moi, mais elle ne veut pas de moi, jamais. Ce secret aura beau être clamé, a jamais il demeurera oublier. Éternellement, je les verrai tomber. Ou poser sur moi ce regard. Le long chemin n'a pas de fin, je suis encore au début et chaque instants qui passe, il devient plus lourd. Je n'en peux plus." 

Une première larmes coula de ses yeux, et repris la parole.

- Un jour, il mourra et le pardon cessera d'exister. Alors, il ne restera que ce devoir que j'ai envers eux, continuer pour que la vie que je leurs ai prise ne soit pas perdue. Je n'en peux plus. Chaque nuit je les entends poser les questions. Je n'en peux plus. C'est trop lourd pour moi, personne ne devrait jamais avoir a tuer, récolter la vie pour survivre. C'est trop lourd pour moi. Ce renardeau, le plus faible de la porté aurait pu vivre. Personne ne devrai jamais avoir a décider qui doit vivre et qui doit mourir. Je n'en peux plus..."

Elle souffrait. Elle mis sa main dans sa sacoche et ses doigts toucha quelque chose, une 2e larmes et elle reprit la parole pour dire dans un murmure.

"- Je n'en peu plus..." 

Je me suis levée et approcha de elle, ce que j'allais faire je n'ai jamais fait sa, je l'ai pris dans mes bras et parla :

- Quand nous tuons pour la 1er fois, nous voulons recommencer, voir le sang coulée de la plaie du corps de la victime et un plaisir parfois. Cela agis comme une drogue, tuer et encore tuer, parfois pour survivre ou pour le plaisir. Moi aussi j'ai tuer des personnes, mais je veux la mort de quelqu'un, a mon tour de te raconter ma vie.

Je l'ai lâcher et je suis retourner pour faire du feu. J'ai mis du bois dans le trou du cercle en pierre et fait en feu dedans, une fois cela fait j'ai pris la viande dans une sacoche et fait des brochettes et j'ai commencer a faire a manger. J'ai pris la parole et commença a raconter ma vie.

- Je suis née dans un village, née d'une union d'un ange et un sorcier, je n'ai pas les ailes d'un ange mais je crois que j'aurais jamais des ailes. Un jour, mon père a tuer ma mère et c'est enfui, j'étais très jeune. Les gens du village ces occuper de moi, mon père a laisser un poignard, il a oublier je crois. Un jour, ont ma dis la vérité, je me suis enfui et pris le poignard oublier de mon père. J'étais très jeune quand je me suis enfui et j'ai vécu dans la nature depuis ce moment là. Je suis en chasse pour trouver mon père, je suis jamais aller dans une ville ou village, mais je pense que mon père se trouve dans une ville. Il est un meurtrier et voleur, et sorcier. Je suis comme lui, tueuse, voleuse et sorcière. Quand j'ai tuer pour la 1er fois, c'était un ours. J'ai aussi volée pour la 1er fois a des voyageurs armée.

J'ai mis une main dans ma botte et sorti un poignard. Il était blanc, sur la garde il était blanc et un peu clair. Je l'ai montrée a Wyliä et repris la parole.

- C'est le poignard oublié de mon père, et je le tuerais de cette lame, de sa propre arme. Il est magique cette arme.

Je l'ai remis dans ma botte et continua a cuire la viande, et encore une fois repris la parole en regardant Wyliä.

- Je vais pas t'abandonner pour se que tu es, et non tu me dégoûte pas. C'est le destin qui a choisi cela, ce n'ai pas ta faute ce que tu es. Tu es un être vivant comme les autres, tu es naît et tu vit, un jour, tu dois arrêter de prendre la vie au autre pour survivre si tu veux avoir le repos éternelle.

Quand j'ai fini de cuire la viande j'ai donner a Wyliä sa prochette et donner de la viande crus a Bolérus et pareille pour Luon. Je me suis assise près du feu et commença a manger ma brochette de viande.

Elle m'a pris dans ses bras. C'était la première fois qu'on me touchait depuis longtemps, si longtemps. Ça raviva ma solitude. Elle était si proche. Mon esprit, déjà, profitant de la brèche cherchait a s'abreuver de sa vie. Je ne voulait pas. La dernière fois, je ne mettait pas écartée à temps et mes bras c'étaient refermé sur de la poussière. Je venais de partir de chez moi, de tuer ma mère et une vielle dame du village, en voyant une petite fille en larme s'est approché. J'ai pris ça vie sans m'en apercevoir. Sans effort, une vie faible, dérisoire. J'ai courut à travers la forêt et, à l'approche du soir, je me suis recroquevillé sur moi même et un immense cercle de poussière et apparu à la place des arbres, marquant la forêt a tout jamais. Je me suis écarté. Aëllicia a parlé.

- Quand nous tuons pour la 1er fois, nous voulons recommencer, voir le sang coulée de la plaie du corps de la victime et un plaisir parfois. Cela agis comme une drogue, tuer et encore tuer, parfois pour survivre ou pour le plaisir. Moi aussi j'ai tuer des personnes, mais je veux la mort de quelqu'un, a mon tour de te raconter ma vie.
Elle ne comprenait pas. Ce n'est pas grave. J'écoutais ce qu'elle disait, mon esprit se concentrant sur tout, sauf sur moi.

- Je suis née dans un village, née d'une union d'un ange et un sorcier, je n'ai pas les ailes d'un ange mais je crois que j'aurais jamais des ailes. Un jour, mon père a tuer ma mère et c'est enfui, j'étais très jeune. Les gens du village ces occuper de moi, mon père a laisser un poignard, il a oublier je crois. Un jour, ont ma dis la vérité, je me suis enfui et pris le poignard oublier de mon père. J'étais très jeune quand je me suis enfui et j'ai vécu dans la nature depuis ce moment là. Je suis en chasse pour trouver mon père, je suis jamais aller dans une ville ou village, mais je pense que mon père se trouve dans une ville. Il est un meurtrier et voleur, et sorcier. Je suis comme lui, tueuse, voleuse et sorcière. Quand j'ai tuer pour la 1er fois, c'était un ours. J'ai aussi volée pour la 1er fois a des voyageurs armée.

J'ai fermé les yeux. Le feu me tenait chaud. Elle a sortit un poignard de sa botte. Je me suis écarté, effrayé. Il m'avait semblé sentir un souffle de vie dans cette objet. J'ai fermé les yeux. Non, il paraissait normal. Je me suis approché du feu a nouveau.

- C'est le poignard oublié de mon père, et je le tuerais de cette lame, de sa propre arme. Il est magique cette arme.
Il me rappelait quelque chose. Je ne sait pas pourquoi il me fait si peur, mais j'ai été soulagée quand Aëllicia l'a rangé.

Elle m'a regardait. J'ignore comment j'ai pu trouver la force de soutenir ce regard, j'était si fatiguée...

- Je vais pas t'abandonner pour se que tu es, et non tu me dégoûte pas. C'est le destin qui a choisi cela, ce n'ai pas ta faute ce que tu es. Tu es un être vivant comme les autres, tu es naît et tu vit, un jour, tu dois arrêter de prendre la vie au autre pour survivre si tu veux avoir le repos éternelle.
J'ai secoué la tête. Elle ne comprend pas. Elle ne l'entends pas ricaner au dessus de ma tête, de son vol me suivre sans cesse, me caresser du regard sans jamais m'emmener. Elle ne la voit pas de son ombre fauché ceux que j'aime, ceux qui me croisent un à un. Ce n'est pas grave. Je ne lui souhaite pas de comprendre. Elle ne m'abandonne pas. Elle doit être dangereuse, très dangereuse et inconsciente pour ne pas fuir. Je peine à le croire. Je la regarde et dans ce regard, je met toute la gratitude que j'ai envers elle.
"- Merci"
J'ai prit la viande qu'elle me tendait. La neige tombait autour de nous. Le froid avait rongé ma chair jusque dans mes os. J'ai sortit de ma sacoche mon lourd manteau d'hiver, une feuille sculpté dans un bois vert bleu, une pomme de pain que j'ai enterré dans la poussière de celui que j'avais détruit, un petit pot en terre cuite et une casserole que j'ai rempli de neige avant de la mettre sur le feu. J'ai laissé tomber quelques fragment du mélange qui était dans le pot et j'ai regardé la douce couleur violette gagné tout le liquide.

"- Merci"

Elle avait l'air de ce dire que je comprenais rien. Je mangeais vite ma viande, Bolérus lui, mangeait lentement, lui qui est un véritable morfale ! Je me suis levée et étirée et dit :

- Je vais aller faire un tour

Et parti. J'avais besoin de prendre l'air, je voulais voir ce qui avait autour de camp en même temps. Ma cape traînait dans la neige, et fessait un sorte de sillage. Je remis bien ma capuche et mon foulard, laissant que montrée mes yeux bleu. Mes yeux avait quelque chose de pas très normal, si je porte du bleu, il devienne bleu. Du rouge, il devienne rouge et etc. Je me suis arrêter et regarda autour de moi. De la neige et des arbres. Et ensuite je regarda vers le ciel, il continuait toujours a neiger. J'ai fait demi tour et je suis retournée au camp. Il fessait nuit. Le vent c'est levée, un vent froid. Ou es-tu ... Comment peux-tu te cacher alors que tu dois mourir ...

Quand je suis revenue, j'avais des planches de bois. Je me suis assise, le dos contre l'arbre et sorti ma dague, une autre dague que celle de mon père, et commença a tailler les planches sans dire un mot.

- Je vais aller faire un tour.
Elle s'est levée, me laissant seule avec mes funestes pensée. Mes yeux se sont perdu dans le vague de la neige quelques instants avant que je ne me ressaisisse. J'ai sortit divers objets de mon sacs : un vieux carnet au feuille jaunies, un livre a la couverture de cuir, divers feuilles, bocaux et mortiers, quelques préparations, divers ustensiles. Je devais garder l'esprit occupé. J'allais renouveler ma réserve d'onguents et de préparations qui serait utile ou commercialisable. Aëllicia est revenu portant des planche de bois et a commencé a les tailler avec une dagues. Luon était toujours dans la forêt. J'ai rangé mes nouveaux pots et mes instruments dans ma sacoche et je me suis enroulé sur mon lit, dans une couverture. Mon corps réclamait du sommeil et je n'avais pas la volonté de refuser. J'ai prélevé dans un petit pot deux pastilles d'un vert étrange et au goûts horrible. Cette nuit, pas question de rêvé à ma vie d'avant, tant pis si les cauchemars m'assaillait.

Wyliä fessait quelque chose que je comprenais pas. Au bout d'un moment, elle est parti se coucher, je l'ai regarder partir dormir. Je me demander ce qu'elle avait fait, j'ai repris mon travail. Je fessait 2 épées, il fallait aussi qu'elle sait ce battre au corps à corps avec tout type d'arme. Il fallait savoir ce battre avec des armes si on ne peut pas utiliser la magie. Je fessais les détails pour l'épée de Wyliä, sur la garde je fessait des sortes de branches avec des feuilles qui s’enroulait autour de la garde. Une fois fini, je la posa et pris une autre planche de bois pour la mienne. Je fessais des gestes sec et vite avec précision, je commencer a faire la lame, ensuite la garde. Elle était simple la mienne mais je l'ai mis de côté et travailla un peu plus l'épée de Wyliä. Je voulais écartée la fatigue, je ne voulais pas dormir. Pour quel raison ? Je sais pas. Je fis les détails des branches qui s'enroulait sur la garde, les feuilles aussi. C'était un sorte de passe-temps pour moi. Et j'aimais retravailler les choses que je fessais avec le bois. Une fois fini avec l'épée de Wyliä, je la rangea et attaqua a la mienne. Je fit des sortes de viennes ou nerf sur la garde, comme si elle était vivante. Une fois fini, je jeta les bout de bois dans le feu et rangea mon arme en bois et celle de Wyliä. Je me suis levée et alla me coucher dans mon lit respectif dans la maison de fortune en mettant bien la capuche et mon foulard, et j'ai enlevée ma cape pour me servir de couverture. Je garderais un œil ouvert, comme toujours.

Je m'étais réveillée en sursaut, suffocante. J'ai regardé autour de moi, il n'y avait que la cabane, l'odeur de mes herbes broyées flottait encore dans l'air, le feu n'était pas éteint. Luon n'était pas loin, je le sentais dormir paisiblement dans un terrier abandonné, entouré des restes de son repas. Je me suis machinalement frotté les yeux et je me suis aperçu qu'ils étaient plein de larmes. J'espérais que je n'avais pas éveillé Aëllicia. Je suis allé m'assoir près du feu et j'ai commencé a voix à peine audible a réciter toutes les formules que j'avais apprise mais que je n'arrivais pas a utiliser, sans doutes mon sang trop impur, une fois fini ces longues incantations, j'attaquais les décimales de Pi, puis d'autres choses encore. Tout les souvenirs dépourvu d'émotions y passèrent. Au bout d'un moment, mes murmures se turent, je m'étais effondré, vaincu par le sommeil, satisfaite : les cauchemars seront tenu à distance maintenant.

Mes oreilles avait entendu quelque chose. J'ai ouvert les yeux directement, et très rapidement, je me suis mis debout, dégainant mon poignard, bras tendue, la main qui serrai la garde du poignard, si y avait quelqu'un devant moi, la dague se situerez vers le cou. J'ai soupirer, rien, personne devant moi. J'ai ranger mon poignard et sorti de la cabane, j'ai vu Wyliä, allonger près du feu. Je l'ai prise dans mes bras et je l'ai remis dans son lit. A mon tour, je me suis recoucher, pour dormir et refaire le rêve depuis toujours.

Assise, sur l'eau, en tailleur. Le ciel ? Moitié crépusculaire et moitié bleu, les nuages dans le ciel, un paysage magnifique. Mais aussi, comment ont peut être assise sur de l'eau ? Aucune idée. J'étais habillée en blanc donc les yeux blanc, je ne comprenais pas pourquoi je portais du blanc. Personne d'autre que moi était la. Solitude absolue. Je fessais ce rêve depuis toujours, mais a chaque ans, je vois la suite de ce rêve. Un rire, un rire qui était celui de ... mon père. Il riait, ce moquait de moi. A me regarder courir partout a sa recherche, je le fessais rire. Je me suis énervée, je me suis mise debout et crier :

- Assez !

Il s'arrêta de rire, je vit une ombre venir vers moi, la forme d'un homme. Des yeux rouges, comme le sang. Il s'arrêta et me regarda, avec un sourire dont les dents était aussi éclatante que la neige. Je le regarder, et quand j'ai eu marre, je le découpa avec mon poignard a la diagonale, il re-apparaissait, re-découpait. Quand j'ai découper la 20ème ombre, je chercha la suivante et quand je l'ai vu, dans les airs, il croisait les bras, il m'attendait. Je fit comme si j'étais un ange, comme si j'avais des ailes, pour prendre son envol. Mais des que mes pieds ne toucha plus l'eau, un ruban d'eau me pris par ma taille et me tira vers l'eau pour m’emmener vers les profondeurs de l'eau. Je me débattais, mais en vain. Et de nouveau ce rire ...

Et je me réveilla, il fessait jour.

Je me suis réveillé tôt, a l'aube, dans mon lit. Aëllicia dormait encore, son souffle soulevait régulièrement et lentement son foulard et ses yeux étaient clos. Elle semblait rêver, son visage était légèrement crispée. La neige tombait plus légèrement mais elle avait deposé sur le monde une epaisse couche de flocons. Luon était blottit à mes pieds. Je suis allé voler l'energie vitale d'un arbre puis je suis rentré dans la cabane, attendre qu'Aëllicia se réveille. En attendant, j'ai fait des réparations sur mon lourd manteau d'hiver, d'une couleur indéfinissable et d'un tissu lourd, déjà maintes fois reprisé, modifié, dénaturé. Un peu comme moi pensais-je tristement. Je sentit au dessus de ma tête le souffle lourd de ricanements et de claquement d'os de la Mort. Je ne fis pas attention. J'ai ensuite recousu des couvertures, attendant patiemment qu'Aëllicia se reveille.

J'étais dans un arbre, l'arbre ou le toit de la cabane de fortune se tenait grâce a une sorte de corde de la branche de cette arbre. J'avais les deux épée en bois, dans chaque mains, je voulais faire une petite surprise a Wyliä. J'ai souris sous mon foulard. Le ciel était blanc, et on voyais plus la différence entre le sol et le ciel. Mes bras était pendue dans le vide avec les 2 épées dans chaque mains. Je me suis mise debout sur la branche et sautée dans le vide, face a l'entrée de la cabane de fortune, et attirée devant l'entrée de la cabane. Plantée les 2 épées devant l'entrée et entrée dedans, j'ai vu Wyliä qui fessait des réparation a un manteau. J'ai enlevée ma cape et mise sur mon lit et assise dessus.

- Bonjour Wyliä, comment tu va ?

Je me suis retourné quand Aëllicia est rentré dans la cabane.
"- Bonjour Wyliä, comment tu va ?"
"- Bien, je vais toujours bien"
Mon regard fut attirer par deux bâton planté dans le sol. J'ai enfilé mon lourd manteau, satisfaite des réparations que j'avais fait. Ça faisait de grosse boursouflure de fil gris très laides, mais c'était solide. J'ai tout mis dans ma sacoche et je me suis levé. Je suis allé voir ces deux bâtons. J'était certaine qu'ils n'y était pas hier. C'était des épée de bois. Je ne savait pas trop quoi faire, alors je suis rester debout, a regardé la neige confondre la terre et le ciel.

"- Bien, je vais toujours bien"

J'ai soupirais, elle mentait. Je l'ai regarder ce diriger vers les épées en bois. Je me suis allonger dans mon lit et regarder le plafond de la cabane. Bolérus se réveiller, je l'ai regarder et caresser sa tête, je me demande si des fois je lui en demande trop ... Je me suis levée, mis ma cape et diriger vers le feu pour l'alimenter en bois. Une fois fait, j'ai commencer a faire le petit déjeuner, la viande, sa en manquer pas. Mais il vaut mieux que on récupère de la viande. J'ai donnée la viande grillé a Wyliä, et pris de la viande, coupé en morceaux et donné a Luon, et pour Bolérus, une pièce de viande crus. Je suis aller prendre mon arc et voir le fil d' araignée, résistant, j'ai pris mon carquois, vérifiée les flèches. Tout bon.

- Je vais aller chasser, tu peux venir avec moi si tu veux.

Nous pouvons pas continuer, car j'ai changer mon personnage, remplacer. C'est comme si Aëllicia n'a jamais exister '-' Bref, voilà, sa stop ici. FIN

Les épées. Des visions de sang et de pouvoirs. La mort toujours plus loin de moi et proche des autre. Les épées. Symbole de la mort. Un rêve rouge éclôt dans mon esprit. Je me voyait, une épée a la main, enivré de carnage et de sang, carnage rouge, cauchemar de mort. Mais tellement tentateur. Je ne pouvais pas manger cette viande rouge. Sang. Rouge. Destruction et carnage. Et quand il n'y aura plus une seule âme en vie sur cette terre, je mourais enfin, libre. Et la mort insidieuse qui me murmure à l'oreille. "Ce sera rapide. Tu finiras par tous les tuer de toutes façons. Ton déficit en energie est trop grand. Et jamais, ma tendre enfant, ma douce jeune fille, mon beau jouet, je ne t'apporterais l'oubli, la mort, ta libération." Rêves rouges a nouveau. Mes jambes sont en coton. Elle ne me porte plus. Je court. Je fuis. Je laisse les branches gifler mon visage, mon sang coule dans la neige. Je hurle. Non. Je refuse. Non. Non. NOOOON ! Je ne sais pas combien de temps je court ainsi sous la neige, avant de m'effondrer dans la douceur poudreuse et immaculé. Mes larmes et mon sang gèlent. Les rêves rouges disparaissent. Se tintent d'un blanc qui m'emporte.


Blanc.





[rp fini]